Elle est arrivée à l’Atir en 2017, comme apprentie en ressources humaines (RH). Aujourd’hui, Coralie Imhoff est une gestionnaire RH confirmée, qui a fêté, en début d’année, l’obtention d’un master de manager stratégique dans ce domaine. L'association s'en réjouit, car la gestion des RH est centrale pour assurer son bon fonctionnement. Cette belle réussite, la jeune femme la doit à sa volonté et son travail, bien sûr. Mais aussi à un principe clé pour l'Atir : tout·e salarié·e motivé·e et désireux·se d'évoluer reçoit écoute et soutien.
En 2024, l'Atir a encore réduit son impact environnemental, grâce aux installations photovoltaïques dont ses unités de dialyse sont équipées. Elle a ainsi diminué ses émissions de CO2 de 448 tonnes, l’équivalent d’une forêt de plus de 13 000 arbres. La direction de l'association confirme, chaque année depuis plus de dix ans, son engagement en faveur de la transition écologique. Une politique de responsabilité sociale de l'entreprise (RSE) d'autant bienvenue que la Nouvelle-Calédonie affiche l'un des bilans carbone les plus mauvais au monde. Quelques chiffres.
C’est l’un des projets informatiques majeurs de l'Atir cette année : faciliter la récupération de données pour alimenter le dossier médical numérique des patients (DMN), lors des séances de dialyse. L’opération pourrait être accomplie via les générateurs de dialyse, grâce à une coopération avec Nipro, qui fournira le logiciel nécessaire.
Infirmiers, infirmières, vous n'avez pas besoin d’avoir déjà travaillé en dialyse pour être embauchés à l’Atir. En effet, c’est une caractéristique dont nous sommes fiers : nous formons à l’hémodialyse les infirmiers diplômés d'Etat (IDE) que nous recrutons. Cela, dès leur arrivée, pendant 5 semaines. Reconnue pour sa grande qualité, la formation Atir s'ajoute aux autres atouts que les soignants attribuent à l'association.
Dans le Pacifique sud français, l'Atir est l'un des principaux opérateurs de dialyse. De Nouméa à Wallis, ses soignants manipulent donc quotidiennement des déchets issus des soins qu'ils prodiguent. Certains sont assimilés aux ordures ménagères (les Daom), d'autres classés à risque infectieux (Dasri). Tous exigent de la vigilance. Le service Qualité de l'association en est garant : pour motiver les équipes, il a lancé une opération de tri des déchets, en mars. C’est l’unité d'hémodialyse de proximité (UHP) de Wallis qui a remporté la palme. Félicitations !
Le comité d'entreprise (CE) de l'Atir le sait : ni les salariés, ni les patients n'oublieront la crise politico-sociale de l'année 2024. Pour célébrer le retour au calme et la solidarité qui a permis de surmonter les affres des émeutes, il a invité les équipes des unités de dialyse à se retrouver, hors cadre professionnel. Entre novembre et mars, repas et journées festives se sont succédé, du nord au sud de l'archipel calédonien. À Koumac, Poindimié, Wallis, Nouméa, nous avons tous formulé le voeu d'une année 2025 sereine et constructive.
« Tout est un défi à Futuna, mais l’Atir a l’expérience de relever ce genre de défis ». C'est ainsi que Nicolas Darsaut, notre directeur général, a confirmé le renforcement de la présence de l'Atir à Wallis et Futuna, sur la chaîne télévisée La 1, le 16 mai. En effet, notre association ouvrira, en fin d'année, une unité d'hémodialyse de proximité (UHP) à Futuna. Son objectif : prendre en charge les insuffisants rénaux de l'île, tout près de chez eux.
C’est à Bourail, commune de brousse de Nouvelle-Calédonie, que la Journée du rein2025 s’est tenue le 3 avril. Rythmée, dense en animations, elle a permis à son promoteur, le Résir, de transmettre un message capital : la détection précoce d’un problème rénal évite de graves soucis de santé. L’événement dédié à la prévention de l’insuffisance rénale a rempli ses objectifs, grâce à l’implication du Résir et de ses partenaires, dont l'Atir. Félicitations !
Elsa est infirmière à l'Atir.
Sur Facebook, elle vous dit pourquoi elle aime son métier.
Pourquoi elle se sent bien dans notre établissement de santé, parmi ses...
La prise en charge du patient en dialyse commence par une étape incontournable : son accueil dans les locaux de l'Atir. Sa direction du service des soins infirmiers (DSSI) sait que la qualité de ce premier contact déterminera celle du parcours de soins. Elle a donc décidé de lancer un projet d’accueil personnalisé à l’Atir, ou Papa. L’engagement des équipes soignantes, la coopération avec le centre hospitalier territorial (CHT) et la satisfaction du patient, y prévalent.
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