Nos métiers

C’est un constat inéluctable : au-delà du soin, beaucoup de patients insuffisants rénaux chroniques ont besoin d’aide. Pourquoi ? Pour résoudre les problèmes d’ordre psychologique et social qui impactent leur quotidien, leur moral, leur santé. Par conséquent, l’Atir s’est adjointe les compétences d’une assistante sociale, Amélie Teissedre. Quelques questions à l’intéressée, pivot du pôle psycho-social pluridisciplinaire de l'association.

Depuis novembre 2023, deux équipes infirmières de l’Atir coopèrent pour proposer des ateliers aux patients qui ont atteint les stades 4 et 5 de l’insuffisance rénale chronique (MRC). L'objectif ? Les renseigner sur la maladie et ses traitements, pour améliorer le parcours patient. Bravo à notre unité de dialyse à domicile (UDD) et à notre équipe d’éducation thérapeutique (ETP) pour cette initiative !

Loin dans le Pacifique, l'Atir fait l'expérience du cloud, quotidiennement. Tout est parti d'une exigence fondamentale : rester un établissement de santé d'avant-garde, qui met le parcours patient au centre de ses préoccupations. Pour soutenir, dans cet esprit, son activité médicale de prise en charge de l'insuffisance rénale dans l'Océan Pacifique, l'association et son partenaire privé, l'U2nc, ont choisi les solutions Google Cloud.

En juillet, l’Atir a embauché une infirmière hygiéniste, Marlène Curot. Elle a intégré notre équipe opérationnelle d’hygiène (EOH) et notre comité de prévention des infections associées aux soins en dialyse (CPIAS-dia). A la lecture de ses missions, vous comprendrez pourquoi il était important que Marlène nous rejoigne. 

La cohésion d’équipe, c’est volatile. A Wallis, les collaborateurs de l’unité d’hémodialyse de proximité (UHP) de l’Atir ont donc décidé de l’entretenir, en toute occasion. Ainsi, mi-juin, quatre de ses infirmiers et agents ont participé à une compétition de va’a à Vaitupu, dans le nord de l’île. Ils se sont frottés à des équipages issus des services publics et assimilés. Chapeau !

L’Atir défend des valeurs dans sa mission au service des patients insuffisants rénaux : l’engagement, l’entraide, le progrès et la satisfaction. En 2019, elle les a écrites dans une charte, au terme d’une réflexion qui a impliqué, pendant un an, direction et salariés. Proposée à chaque nouvel arrivant, la charte traduit la volonté des équipes d’ancrer dans leur quotidien des comportements chargés de sens.

« L’alimentation, ça soigne l’insuffisance rénale ! » affirme l’Atir, qui fait appel à des diététiciennes nutritionnistes pour conseiller ses patients dialysés. Leur mission : apprendre aux insuffisants rénaux chroniques comment s’alimenter de manière à améliorer leur santé. L’une d’elles, Charlène Guignet, nous éclaire sur leurs interventions.

L’Atir a choisi de former des infirmiers diplômés d’Etat (IDE) volontaires pour relayer dans ses unités de dialyse des actions dites « transversales ». Concrètement, ces référents participent à la transmission de compétences aux autres salariés et donc, à la démarche qualité de notre association spécialiste de la prise en charge des dialysés calédoniens. Un rôle à comprendre et… à saluer !