L’Atir en projets

En juillet, l’Atir a embauché une infirmière hygiéniste, Marlène Curot. Elle a intégré notre équipe opérationnelle d’hygiène (EOH) et notre comité de prévention des infections associées aux soins en dialyse (CPIAS-dia). A la lecture de ses missions, vous comprendrez pourquoi il était important que Marlène nous rejoigne. 

Parmi ses valeurs fondamentales, l’Atir a inscrit le progrès. Elle l’illustre dans le domaine technique et médical en s’équipant de Nikkiso DBB Exa. Ces générateurs de dialyse ultra-performants améliorent encore la qualité des soins aux patients insuffisants rénaux, que le principal opérateur calédonien prend en charge partout en Nouvelle-Calédonie.

La cohésion d’équipe, c’est volatile. A Wallis, les collaborateurs de l’unité d’hémodialyse de proximité (UHP) de l’Atir ont donc décidé de l’entretenir, en toute occasion. Ainsi, mi-juin, quatre de ses infirmiers et agents ont participé à une compétition de va’a à Vaitupu, dans le nord de l’île. Ils se sont frottés à des équipages issus des services publics et assimilés. Chapeau !

L’Atir défend des valeurs dans sa mission au service des patients insuffisants rénaux : l’engagement, l’entraide, le progrès et la satisfaction. En 2019, elle les a écrites dans une charte, au terme d’une réflexion qui a impliqué, pendant un an, direction et salariés. Proposée à chaque nouvel arrivant, la charte traduit la volonté des équipes d’ancrer dans leur quotidien des comportements chargés de sens.

Les paradis tropicaux n’échappent pas à l’insuffisance rénale chronique. C’est le cas des Iles Loyauté – Maré, Lifou et Ouvéa – joyau de la Nouvelle-Calédonie. L’Atir y exploite donc trois unités de dialyse de proximité (UHP). Cependant, pour minimiser son impact écologique, elle vient d’y mettre en service, en partenariat avec les autorités sanitaires locales, des micro-ondes destinés à broyer et décontaminer les déchets d’activités de soin à risque infectieux (DASRI). Un jalon dans son engagement écoresponsable.

Oui, à l’Atir, les patients mettent la main à la pâte. L’une de ses unités d’hémodialyse de proximité (UHP), située à Koutio, près de Nouméa, en témoigne. En effet, son équipe de soignants a pour projet de service d’accompagner les dialysés vers plus d’autonomie dans leurs soins. Comment s’y prend-elle ? En les invitant, par exemple, à monter leur générateur de dialyse.

Les MNU, ce sont les médicaments non utilisés. Depuis juillet 2021, le code de l’environnement de la province Sud de Nouvelle-Calédonie fait obligation aux utilisateurs professionnels d’organiser leur collecte et destruction, selon une procédure soumise à agrément des autorités compétentes. Le 17 mars, l’Atir et son partenaire opérateur de dialyse, l’U2nc, ont présenté la leur, commune, aux élus calédoniens. Avec succès.