Notre actu

Du sens dans sa vie professionnelle ? L’Atir vous en offre, indubitablement ! En 2022, ses salariés ont contribué à faire aboutir de nombreux projets cohérents, car tous enclins à faire progresser le parcours du patient insuffisant rénal chronique. Petit récapitulatif d’une activité qui se poursuivra en 2023 avec autant d’enthousiasme.

Une salade de mangues finement assaisonnée et du riz au lait de riz. Ce sont les deux recettes diététiques que l'Atir vous propose pour fêter la fin d'année. Diététiques, originales et délicieuses. Faites-vous plaisir, que vous habitiez l'hémisphère nord ou le sud. L'Atir a choisi pour valeur la satisfaction et l'exploite, dans tous les sens du terme. Bonnes fêtes !

Depuis le 1er mars 2021, l’Atir déploie un service de coordination pré-greffe. Pour l’animer, l’association a désigné Cécile Caillaba, son infirmière déjà en charge de l’éducation thérapeutique des patients (ETP). En effet, les deux missions convergent : l’ETP explique la transplantation rénale aux dialysés ; la coordination pré-greffe accompagne ensuite efficacement ceux qui souhaitent y recourir.

L’Atir a choisi de former des infirmiers diplômés d’Etat (IDE) volontaires pour relayer dans ses unités de dialyse des actions dites « transversales ». Concrètement, ces référents participent à la transmission de compétences aux autres salariés et donc, à la démarche qualité de notre association spécialiste de la prise en charge des dialysés calédoniens. Un rôle à comprendre et… à saluer !

En 2016, l’Atir a introduit l’hémodialyse longue de nuit dans son unité médicalisée de Dumbéa sur Mer. Les patients en tirent de grands bienfaits. En effet, leur qualité de vie et leur bilan de santé s’en sont améliorés, conformément aux conclusions de la recherche médicale. Les médecins de l'association militent donc pour étendre cette offre de soins. L’Atir a besoin d'infirmiers pour ce beau projet.
Mi-2021, l’Atir a confié à Christel, Lorenza et Petelo, ses trois assistants médicaux, une mission de relais sociaux pour les patients. Objectif : accompagner les insuffisants rénaux dans leurs démarches quotidiennes pour leur offrir la meilleure qualité de vie possible. Comment leur action s’exerce-t-elle ?
L’Atir prend des mesures concrètes pour améliorer la qualité de vie au travail de ses salariés. Parmi ces mesures, des visites régulières de la direction des ressources humaines (DRH) aux équipes soignantes, dans les unités d’hémodialyse. Egalement, l’organisation de « journées de cohésion » qui tissent des liens entre collaborateurs. La nomination, en 2019, d’un médecin responsable de leur santé et de la qualité des relations de travail est venue renforcer le dispositif.

L’Atir initie son personnel soignant aux gestes d’urgence. Pour les lui enseigner, elle a identifié parmi ses équipes des infirmiers volontaires. Ces référents ont bénéficié de la formation dispensée par un spécialiste en la matière, le docteur Christophe Ridel. Selon lui, « maîtriser l’urgence, c’est accessible à tous ». Ce que confirme le tutoriel de l’Aura Paris, l’un des partenaires de l’Atir, sur l’arrêt cardiaque.

En Nouvelle-Calédonie, l’Atir prend en charge les patients à tous les stades de la maladie rénale. Consultations de néphrologie, hémodialyse, dialyse à domicile, constitution des dossiers de greffe... En partenariat avec l’hôpital public, l’association se bat stratégiquement sur tous les fronts pour soulager la population calédonienne. Autant de défis pour les médecins et infirmiers qui décident de travailler à son service.

L’Atir traite l’insuffisance rénale au bout du monde, en Nouvelle-Calédonie. Les médecins et infirmiers qui acceptent de s’engager auprès d’elle relèvent avec satisfaction la qualité de sa prise en charge des patients. Et de ses conditions de travail.